Informations

GEOBIOLOGIE

UN PEU D’HISTOIRE

Peut-on dater les débuts de la Géobiologie?

En réalité ce nom est récent  (Géo= la terre et bio = la vie, logie = étude). La géobiologie est liée à la radiesthésie celle-ci est un outil important de détection .

• Les anciens connaissaient bien ces phénomènes et leurs habitats tenaient compte de la sécurité, la proximité de l’eau ainsi que les qualités vibratoires, ceci dans la plupart des civilisations.

Au mésolithique (-11 500) les capacités vibratoires  élevées de certains lieux étaient utilisées par les shamans pour les initiations, les cérémonies religieuses, leurs capacités de guérison, et les rites sociaux et religieux.

• Ex: Nabta Playa en Égypte il a 11 000 ans
  Une civilisation utilise les cercles de pierres avec des repérages astronomiques comme Stonehenge.
  La civilisation des mégalithes  à partir -7000 ans se caractérise par l’usage intensif de ces phénomènes. Cette civilisation a disparu mystérieusement mais en laissant beaucoup de traces.
• En Chine il y a 6000 ans: par les géomanciens qui pratiquaient  le Feng Shui. Les manuels décrivaient la nature des énergies telluriques et la manière de les adapter aux besoins des hommes.Il était notamment interdit de bâtir sa maison sur les veines du dragon c’est-à-dire au-dessus d’un cours d’eau souterrain.
• En Égypte
• L’art du sourcier appelé jadis rhabdomancie (du grec rhabdos, baguette et manteia, divination), est pratiqué depuis la plus haute Antiquité. Certaines gravures Sahariennes datant de 8000 ans représentent déjà cet art.
• Les Celtes connaissaient parfaitement les lois de la nature dont ils ressentaient les effets dans les lieux qu’ils vénéraient , arbres anciens, sources et hauts lieux vibratoires . Leurs Druides se réunissaient dans les clairières sacrées.Ces lieux qui furent utilisés après l’invasion romaine pour la construction des temples remplacés par les églises dès les 5ème et 6ème siècles.
• Les Romains faisaient paître des moutons sur le site choisi. Après un an ils les tuaient, regardaient les viscères si leur foie n’avait pas de problème, et l’emplacement était choisi ainsi,
• Souvent les animaux étaient mis à contribution dans la recherche de lieux favorables à la vie .
• De la fin de la période romaine jusqu’à la fin du Haut Moyen Age les sources d’informations sont quasiment inexistantes.
  Il est certain que les connaissances des druides concernant les forces de la nature ont pu être récupérées par les moines des abbayes qui existaient dès la fin du 4ème siècle par exemples : Saint- Honorat à Lérins ou Saint Martin de Ligugé.
• Progressivement à partir du Haut Moyen Age avec le développement de la religion chrétienne le nombre de lieux favorables pour la construction d’églises , anciens temples ou HLV (haut lieu vibratoire) naturels vint à manquer.
•  Les moines constructeurs ont probablement utilisé les techniques des druides pour construire certains lieux. Ceci se remarque particulièrement en Bretagne ou l’on retrouve souvent le triptyque , une source sacrée, un calvaire (le menhir) et la chapelle (l’allée couverte).A partir du 11ème siècle, on assiste à une période de prospérité , avec pour conséquence le développement de la population auquel s’ajoute des changements importants dans la religion chrétienne par le pape Grégoire 7.(fin de la simonie, célibat et formation des prêtres, nomination des évêques par Rome, etc.)
• Ces modifications contribueront à une période faste pour la création de lieux sacrés.
• A partir de 1350 environ en France l’utilisation des forces de la nature dans la construction des édifices sacrés semble avoir disparue (fin des templiers (Donneurs d’ordre 1307 ou/et la grande Peste 1347-1352).
• Au 19ème siècle et le développement progressif de l’urbanisation, on commence à se rendre compte des problèmes qui peuvent survenir à cause des lieux de vie.

LES CHAMPS ELECTROMAGNETIQUES – ELECTROSMOG

Quelques notions :

L’électromagnétisme est présent à l’état naturel et tient un rôle dans le bon fonctionnement des organismes vivants.

L’utilisation de l’électricité depuis le XIX^ème siècle et de la technologie sans fil depuis la fin du siècle dernier s’est considérablement développée au point qu’aujourd’hui le terme « électro-smog », brouillard électrique, est couramment employé.

L’électricité produit un champ électrique et un champ magnétique de basses fréquences.

La technologie sans fil utilise principalement les ondes électromagnétiques de hautes fréquences. (En haute fréquence, la distinction entre champs électrique et magnétique ne se fait pas).

Une fréquence est représentée par une ligne sinusoïdale dont le tracé se répète plusieurs fois en une seconde. L’unité est le Hertz.

Par exemple, si la sinusoïde se répète 50 fois en une seconde, sa fréquence est de 50 Hertz. C’est le cas d’une fréquence émise par un courant électrique et d’une tension de 220 Volt (ERDF).

Les champs sont les espaces dans lesquels se situent les ondes. Elles sont plus denses près de la source émettrice et diminuent avec son éloignement.

En dessous d’un certain seuil, qui estime la non-perturbation des ondes sur le vivant, on ne parle donc plus de champs mais de zone blanche. Cette zone, pour ainsi dire « neutre » est idéale.

Les effets sur l’individu :

Le corps humain vit avec les ondes générées par la nature que ce soit par la terre ou l’univers. Notre corps est naturellement adapté.

Il génère lui-même de l’électricité qui est utilisée, entre-autre, pour l’envoi de signaux de cellule à cellule ou encore par le système nerveux dont le cerveau est un bel exemple par ses connexions neuronales.

Il est naturel également que le corps humain se décharge régulièrement de l’électricité qu’il contient par le contact avec la terre.

Que se passe-t-il de nos jours ?

L’emploi de nouveaux matériaux présente en l’inconvénient d’isoler le corps de la terre l’empêchant ainsi de se décharger. C’est le cas notamment de semelles de chaussures et de certains revêtements de sol. (polymères et plastics divers ayant une propriété isolante électriquement)

Les sources émettrices de CEM :

Basses Fréquences (BF) :

A l’extérieur :

• Les lignes à hautes tensions,
• Les lignes de réseaux ferrés,
• Les éoliennes (son),
• Les transformateurs,

A l’intérieur :

• Les installations électriques (depuis l’alimentation aux appareillages) : alimentation, mauvaise mise à la terre, compteur, tableau, réseau, prises de courant (PC), interrupteurs, …
• Les appareils électriques lorsqu’ils sont en fonctionnement ou en veille.
• …

Hautes Fréquences (HF) :

A l’extérieur :

• Les antennes émettrices / relais de signaux numériques (pour TV, internet, téléphonie mobile, …)
• …

A l’intérieur :

• Les fours à micro-ondes,
• Les appareils électriques usant de la technologie sans fil : Wifi, Bluetooth (compteurs type « Linky », box TV/Téléphone/internet, Internet ordinateurs / TV / tablettes, enceintes / claviers / souris Bluetooth, Baby phones

Notre prestation :

Le premier volet de notre prestation en géobiologie consiste à relever les mesures des champs électriques, magnétiques de basses fréquences et des champs électromagnétiques de hautes fréquences. Les lieux de séjours tels les lits, les espaces de repos et de travail font l’objet d’une attention particulière.

A titre d’information, nous relevons également l’émission devant les appareils en fonctionnement. Ces relevés font prendre conscience aux usagers de l’intensité des émissions de leurs appareils électriques.

La mise à la terre et le phasage de prises de courant sont vérifiés.

En cas de doute concernant la présence de courants vagabonds dans les parois, le taux d’humidité des matériaux de construction est relevé.

Nos rapports permettent de comparer les mesures relevées avec les normes françaises et celles préconisées par le groupe Bio Initiative pour user du principe de précaution.

Puis, selon les relevés effectués, nous apportons des conseils quant aux dispositions à prendre pour les protections.

Réglementation pour les lieux de travail :

Depuis le 1^er janvier 2017, l’employeur doit évaluer les risques résultant de l’exposition des travailleurs aux champs électromagnétiques (article R4453-6 du code du travail) liens

L’intervention d’un géobiologue permet sur le lieu ou le poste de travail d’évaluer l’incidence de l’environnement sur le comportement et le bien être des personnes, d’établir un bilan et d’apporter des solutions et les corrections pouvant améliorer les conditions de travail.

A l’issue des relevés il établit une liste de recommandations visant à :

• Placer les postes de travail en « zone neutre »
• Faire disparaitre ou atténuer fortement les champs électromagnétiques autour des postes de travail.
• Informer les dirigeants et les salariés sur les risques professionnels induits par les champs électromagnétiques.(R4453-17 et 23 du code de travail)

LES PHENOMENES SUBTILS

INTRODUCTION 

Tout ce qui vit sur notre planète se situe entre des influences en provenance de l’Univers et du centre de la Terre.

Le Cosmos

Le soleil est l’étoile de notre système Solaire, il est la source de la vie. Les autres planètes selon leurs dimensions et leur éloignement agissent à des degrés divers selon les domaines concernés et leurs positions par rapport à la Terre. En ce qui concerne les réseaux telluriques leurs variations suivent directement les mouvements du soleil et de la Lune.

De l’univers arrivent de toutes les directions des ondes et les rayons cosmiques. Ce sont des particules comme des neutrons, électrons, rayons UV et X, neutrinos (les 65 milliards de neutrinos par cm2 qui nous traversent chaque seconde), etc. Elles viennent du soleil, des super novas, des trous noirs, et souvent l’origine est inconnue. Une grande partie est absorbée par l’atmosphère, et crée des courants électriques et des champs magnétiques dans la haute atmosphère. Certaines de ces particules, plus rares peuvent atteindre des niveaux d’énergie fabuleux, elles créent des gerbes énergétiques lorsqu’elles se heurtent aux particules présentent qui peuvent atteindre des surfaces importantes au sol.

Le magnétisme terrestre

Le centre de la terre est composé d’un noyau solide baignant dans du fer et du nickel liquide. Les mouvements de convections créent un champ magnétique. Son intensité moyenne en France est de 47 000 nanoteslas (0,47Gauss).

Ce champ magnétique protège la terre du vent solaire

LA DETECTION DES PHENOMENES SUBTILS

Les appareils de mesures :

L’électromagnétisme particulièrement lorsqu’il est artificiel peut, en partie du moins, se mesurer à l’aide d’appareils.

Les appareils de mesures complètent la perception de l’individu doté de ses cinq sens. Ce complément contribue à la représentation de l’environnement dans lequel il évolue.

Bien que les sciences et les technologies progressent constamment, tous les phénomènes ne se mesurent pas à l’aide d’appareils équipés de cadrans et bips sonores. Les phénomènes existent pour autant.

Les sciences s’orientent selon les pôles d’intérêts des sociétés (et il n’est pas difficile de constater les tendances visant à une production, un rendement optimales).

Ainsi, les sciences et technologies évoluant, et ceci certainement en parallèle à un intérêt croissant pour les phénomènes subtils que ce soit en géobiologie ou bioénergie, plusieurs appareils sont mis au point depuis quelques années.

Nous avons expérimenté, et nous continuons, en utilisant des appareils tels que VGA, GDV et tout récemment le LVA.

La perception directe par l’individu.

Pour avoir analysé plusieurs dizaines de sites dits sacrés en France et à l’étranger, utilisés depuis le néolithique jusqu’à nos jours, nous pouvons constater que le hasard a peu de place au regard de la répétition de présences de phénomènes subtils sur les lieux visités.

Or, à l’évidence, nos ancêtres n’avaient pas les moyens scientifiques d’aujourd’hui non seulement pour percevoir mais pour organiser, mettre en œuvre, architecturer les sites et édifices tant dans leur construction physique que dans la réunion de phénomènes subtils.

Ils maîtrisaient l’emploi d’outils simples et/ou leurs facultés intrinsèques.

Autant que les appareils de mesures le permettent, nous avons corroboré les détections des phénomènes subtils avec nos perceptions par ressenti et par l’emploi de la radiesthésie. Sans prétendre atteindre les 100% de réussite, les résultats sont très concluant.

Le ressenti se pratique, principalement par les mains, comme une extension au sens du toucher. Les sensations d’autres parties du corps peuvent également être révélatrices.

C’est parce qu’on ne peut les toucher, les voir, les entendre, les sentir au sens commun que les phénomènes sont qualifiés du terme « subtils ». Cependant, ce n’est pas parce qu’ils sont subtils que leurs conséquences sur le vivant sont faibles.

Pour autant, leur nature, en toute objectivité, est difficile à définir dans l’absolu : fluides, énergies, informations, …etc

En revanche, nous pouvons constater s’ils sont favorables ou non au vivant.

La mesure du champ vital est un curseur. Comparable au corps éthérique, le champ vital est une enveloppe entourant le corps physique se situant à une distance qui augmente ou diminue selon si nous nous situons respectivement en présence favorable ou défavorable. La distance moyenne diffère selon les individus avec, en général, 30 à 40 cm environ de l’enveloppe charnelle au niveau du tronc.

Selon le même principe, la position de deux des trois plans qui nous traversent est révélatrice.

L’emploi de la radiesthésie :

La pratique de la radiesthésie permet également la détection de phénomènes subtils.

Cette pratique est employée depuis des siècles et nous en avons trace par des gravures représentant des sourciers à l’œuvre ou, plus anciennement encore, par représentation de pendule datant de l’Egypte ancienne.

Cette pratique a pris le nom de radiesthésie au début du XXème siècle, période à laquelle elle a connu un essor. Auparavant, elle s’apparentait à la rhabdomancie.

A cette époque, les travaux de Monsieur A. Bovis ont permis l’emploi d’un système de mesure de « taux vibratoires » dont l’unité porte son nom. Portées sur le taux vibratoire des aliments, à l’origine, les mesures se généralisent en s’étendant non seulement au vivant mais également à l’environnement. Ce système est toujours utilisé de nos jours présentant la qualité de donner une grille de références communes aux praticiens à la condition d’un calibrage préalable.

LES DIFFERENTS PHENOMENES

LES RESEAUX

En ce qui concerne les réseaux telluriques ils ne sont pas d’origine électromagnétique car ils ne peuvent pas être à notre connaissance détectés par un magnétomètre.

La plupart des géobiologues les utilisent même s’ils ne sont pas tous d’accord sur leurs origines et leurs caractéristiques. Stéphane Cardinaux, un grand géobiologue Suisse pense qu’ils pourraient avoir une origine sonore.

Il est possible qu’elles fluctuent selon les croyances et les outils de détection utilisés. Ils sont utilisés depuis la préhistoire et participe à la création des lieux sacrés.
Ils ne sont pas sensibles aux détecteurs d’ondes électromagnétiques. On peut les détecter par radiesthésie, avec des baguettes ou pendules par exemple, mais les personnes dotées d’un peu de sensibilité peuvent après quelques instants de pratiques en ressentir les effets des plus puissants.

Ils se présentent sous forme de grille alvéolaire en 3 dimensions, séparés par des murs horizontaux et verticaux de largeur de 20 à 50cm selon le réseau. Ces dimensions sont très variables, ils existent des grands et des petits plus difficiles à détectés .Ils sont sensibles à toutes perturbations. Par exemple : géologiques, électromagnétiques, solaires, lunaires, etc.
Les spécialistes pensent qu’ils couvrent pratiquement toute la planète et qu’il y aurait un réseau par métal et métalloïde. Par exemple George Prat a découvert l’existence de lieu thérapeutiques dans des lieux sacrés aux croisements de certains réseaux métaux et métalloïdes. En générale les Géobiologues travaillent avec 5 ou 6 réseaux différents que nous avons sélectionnés.

Il existe 2 sortes de réseaux classés selon l’orientation de leur trame :
–   Le réseau Orthogonale (rectangle) mailles nord/sud est/ouest, aussi appelé Global.

• Le réseau Diagonal (losange) mailles nord-est/sud-est

Ces réseaux sont inclus dans des réseaux de plus en plus grands.

LE RESEAU GLOBAL HARTMANN (NICKEL)

il a été redécouvert par le Docteur Hartmann médecin Allemand au XXème siècle.

Le réseau est orthogonal en 3 dimensions dont les mailles irrégulières sont en moyenne hors perturbations de 2m Nord/Sud et 2.5m Est/Ouest, hauteur 2.5m. L’épaisseur théorique des murs est de 21cm.
Les anomalies du Réseau Hartmann, par exemple mailles resserrées, sont souvent un indicateur de perturbations (failles, courants d’eau, électromagnétique, etc.).
Chaque ligne est alternativement polarisée (+/-). Les croisements de lignes de polarités négatives rétractent notre champ vital et sont défavorables au vivant, cet aspect peut être amplifié s’il se trouve au-dessus d’un croisement de rivière souterraine, nous avons alors un point « géo-pathogène ».
Il est fortement déconseillé de rester dessus.

Le réseau est de base 7 :

C’est-à-dire que toutes les 7 cases de lignes de niveau 1, il y a une ligne de niveau 2 (llllll lll llllll).

Toutes 7 lignes de niveau 2,
il y a une ligne de niveau 3. (lllllll lll N3 lll lllllll).

Ces lignes de niveau 3 sont larges de 80cm et entourées de 3 lignes de niveau 1.

Les croisements de lignes de niveau 3 positives se retrouvent dans les lieux sacrés et utilisées par les anciens bâtisseurs.

LE RESEAU DIAGONAL CURRY (FER)

Le réseau Diagonal Curry (fer)

Ce réseau a été redécouvert par le Docteur Curry.

Il est orienté à 45° par rapport aux points cardinaux. La trame est orientée Nord-Ouest/Sud-est et Nord-Sud-Ouest

La dimension des mailles est variable de 3,00 à 8,00m dans chaque direction. L’épaisseur théorique des murs est de 40cm

Chaque ligne est alternativement polarisée (+/-). Il est fortement déconseillé de rester dessus. Ce réseau est un peu plus facile à détecter.

Les points étoiles

La base de ce réseau est 5

LE RESEAU GLOBAL PALM (CUIVRE)

Ce réseau découvert par le Docteur Hubert Palm
Ce réseau est orthogonal (90°) il suit les points cardinaux. La trame est orientée NS/EO.
La dimension des mailles varie de 3,50 à 5,50m direction Nord Sud et 5,50 à 7,50m Est Ouest. L’épaisseur théorique des murs est de 36cm.

Base Vibratoire 7

LE RESEAU GLOBAL PEYRE (OR)

Ce réseau découvert par le Docteur Peyré. Il fit part de ses découvertes lors d’un Congrès scientifique en 1937.Il a écrit un livre « Radiations cosmo telluriques » après la guerre 39/45.

Ce réseau est orthogonal (90°) il suit les points cardinaux. La trame est orientée NS/EO.
La dimension des mailles varie de 5,00 à 8,00m direction Nord Sud et 6,00 à 8,00m Est Ouest. L’épaisseur théorique des murs est de 40cm.

Base Vibratoire 9

LA DETECTION DES RESEAUX

LES COURANTS TELLURIQUES

Les courants telluriques d’origine électromagnétique.

• Le magnétisme terrestre

Il parcourt toute la planète le pôle Nord au Sud, Il est produit par le mouvement de convection du noyau liquide au centre de la Terre. Il semble diminuer depuis 1500 ans, lorsqu’il aura disparu la Terre sera comme la Lune ou la planète Mars. Son intensité est d’environ 48 000 nano tesla. Il nous protège du vent solaire et s’étend sur plusieurs dizaines de milliers de kilomètres autour de la terre.

• Les courants électromagnétiques vagabonds

Les courants vagabonds parcourent le sol. En principe le courant circule dans un circuit fermé. Le retour à la centrale se fait par le neutre (attention pas la terre raccordée à la maison) C’est-à-dire par les voies de moindre résistances fleuves, rivières, voies de chemin de fer.

Les courants telluriques subtils

• D’où viennent-ils

Ces courants sont connus depuis très longtemps et utilisés par l’homme depuis plus de 7000 ans. Les mégalithes sont souvent posés sur leur parcours.Les Chinois dans le Feng Shui les nomment « les Veines du Dragon».
Ces courants dont on ne connait pas l’origine avec certitudes pourraient être liés aux mouvements du magma ou/et du noyau terrestre. Ils parcourent la planète en surface et en profondeur sous forme de réseaux un peu comme notre un système nerveux, ou le réseau hydraulique, avec les fleuves, rivières, ruisseaux. Ils émergent plus particulièrement dans les zones volcaniques ou les massifs rocheux et ils participent à la création de zones énergétiques naturels (ex : en Bretagne dans les Monts d’Arrée, en Écosse à Édimbourg, Région Lyonnaise).

L’EAU ET LES FAILLES

TEXTES ISSUS DE LA TRADITION